Canyon de la Maglia 2013
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Alpinisme, escalade, ski de randonnée, cascade de glace, randonnée pédestre, Mercantour
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Très tôt dans l’après midi, un orage éclate. Nous sommes dans le pays du Velay, connu entre autres pour ses fameuses lentilles. La première halte se fait au Bouchet Saint Nicolas.
La nourriture et l’accueil au Gîte communal y sont absolument divins (c’est d’ailleurs un gros point positif de ces régions. Vraiment, ça vaudrait le coup d’aller marcher là bas rien que pour ça!)
La qualité du rocher et la longueur de l’itinéraire (environ 400 mètres) en font un must de notre massif du Mercantour. Le rocher sculpté permet une escalade raide sur bonnes prises dans un niveau 4+/5.
Yannick dans la cinquième longueur en 4b :
Sébastien et Jean Claude au lever du jour:
370m/8a+/b max et 7c obligatoire, signée Rolando Larcher et Robert Viagiani qui ont ouvert cette voie du bas en libre !
L’enneigement donne un caractère encore plus sérieux à la course. Après une approche en neige, nous devrons porter les grosses chaussures ainsi que les crampons dans la voie pour descendre de l’autre côté.
Un bon entrainement pour les grandes courses des Alpes !
La Cougourde encore bien enneigé en ce début d’été.
Hugues dans L2.
Laurent à la dernière longueur, un vent violent s’est levé et les cordes volent:
Laurent à l’approche de la pointe Adolphe Rey avec au fond la Dent du Géant :
Samedi, nous partons directement à pied de l’hôtel en direction du Col de la Guardiole que nous atteignons facilement après 1 heure de marche.
De là, une belle vue nous permet d’admirer le Mont Puget puis nous redescendons vers la Calanque d’Envaux en passant par le vallon très sauvage de Guardiole.
Les essences méditerranéennes sont omni-présentes dans la garrigue odorante qui subit toute l’année des conditions de sécheresse extrême (très venté en hiver, très chaud en été, sols calcaires et salinité).
A l’ombre, nous apprécions notre déjeuner tiré du sac. La baignade est fraiche cette année mais la vue sur les falaises environnantes, en remontant à la nage la calanque, est exceptionnelle.
Nous remontons alors le versant sud ouest pour rejoindre le plateau sommital qui permet de rejoindre la Calanque de Port Pin.
Nous gagnons alors Cassis en passant par Port Pin et la Calanque de Port Miou.
En cette fin d’après midi, l’ambiance provençale est agréable et nous décidons de prendre un verre à une terrasse de café sur le port de Cassis.
Le soir, nous apprécions un bon repas en compagnie de Jo et Béatrice, amis venus de Marseille pour l’occasion.
Dimanche, après un bon petit déjeuner, nous partons en direction du quartier de Luminy et son pôle universitaire.
Au travers de la pinède, le sentier permet de gagner facilement le col de Sormiou.
De là, nous prenons le cap du sud est en longeant la crête de Sormiou, véritable échine qui permet d’admirer, d’un côté, les iles au large du massif de Marseilleveyre, notamment l’ile du Riou et, de l’autre côté, le Calanque de Sormiou sur laquelle nous redescendons en fin de matinée.
Il commence à faire chaud et le ventre commence à tiraille.
Après un bon déjeuner dans le pinède au bord de l’eau, nous rejoignons la Calanque des Pierres tombées où quelques nudistes font bronzette.
Nous remontons alors sur le Col du Sugiton puis par un sentier ombragé notre point de départ.