Randonnée sauvage du Haut-Var le Mont Rougnous – Randonnée : Guides 06

Randonnée sauvage du Haut-Var le Mont Rougnous

Dimanche 02 novembre 2014, avec Olivier, du nord au sud nous avons traversé les arêtes du peu parcouru Mont Rougnous 2673m.  
Total 1400m de dénivelée, réservé aux marcheurs ayants un très bon pied montagnard.

La veille nous avions été à la Cime de l’Aspre 2471m puis à la cime de Pal 2818m.

Sur les arêtes entre le Mont Rougnous et le Mont Molaret 2623m :

 

Comme la veille, départ du hameau des Tourres 1680m.
Dès le matin le petit village est au soleil :

 

Première étape, nous remontons le sentier descendu la veille au soir pour atteindre à nouveau le col de Pal 2208m :

 

Côté Tinée vu depuis le col de Pal, le vallon de Demandols. 
La cime de Bolofré 2827m et le Mont Pierre Châtel 2774m sont bien visibles :

 

La montée du col de Pal au Mont Rougnous :

 

Rapidement les pentes deviennent fuyantes :

 

Dernier replat avant le raidillon final où il faut se décaler à droite de l’arête, toujours à la limite du couloir éboulis :

 

Cent mètres avant la crête sommitale, le terrain devient raide, il faut parfois s’appuyer avec les paumes des mains :

 

Au sommet du Mont Rougnous :

 

Suit, 1,5km de crête et arête du sommet du Mont Rougnous à l’antécime de Peyre de Vic 2579m, puis encore 1,5km sur la Crête de Bouige. Des pentes d’herbes plus débonnaires permettent d’atteindre le col de Barels 1706m :

 

La crête qui domine la Barlatte à droite, et plus loin la vallée du Var :

 

La boucle est bientôt bouclée, le hameau des Tourres est en vue. En fait on l’a eu en vue toute la journée, là il n’est plus qu’à deux bonnes heures de marche!
Dit trivialement de la sorte ça ne rend pas compte de la superbe journée que nous avons passée.
A gauche la cime de l’Aspre, à droite la cime de Pal :

 

 

2 réflexions au sujet de “Randonnée sauvage du Haut-Var le Mont Rougnous – Randonnée : Guides 06”

  1. Bonjour Alain,

    c’est à la limite de la randonnée alpine sans être encore de l’alpinisme.
    A la montée, sur les cent derniers mètres, en trouvant l’endroit le plus simple il faut un peu s’appuyer avec les paumes de mains sans réellement se tenir. A cet endroit, en groupe la gestion des pierres doit être prise très au sérieux.
    La traversée est aérienne avec parfois seulement un mètre de large, les mains sont inutiles.

    Amitiés, Stéphane.

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